Stop ! Arrêtez de tuer nos enfants !

Mesdames, Messieurs, en vos grades et qualités,

 

Au petit matin du 13 octobre dernier, un de nos enfants, lycéen de 15 ans du Lycée Charles Coëffin de Baie-Mahault a été retrouvé mort dans son lit par sa mère, le corps raide et froid tel un bloc de glace. Il était pourtant en parfaite santé. Son cœur se serait arrêté durant la nuit. D’après votre autopsie, il aurait succombé à une « hémorragie cérébrale brutale et massive ».
Sa famille avait décidé de lui faire prendre la piqûre afin de participer à un voyage sportif de Rugby en décembre prochain : première dose en mai 2021 ; deuxième dose en juin.

 

Déjà un mois auparavant, en septembre dernier, une autre de nos enfants, lycéenne, qui devait passer son Baccalauréat cette année, reconnue comme étant une élève brillante et en bonne santé, avait avec l’accord de sa mère, pris cette piqure le 30 août 2021. Elle est tombée un mois après, en septembre, frappée violemment par le syndrome de Guillain-Baré, conséquence de votre piqûre…

 

Depuis hier, lundi 25 octobre, nos enfants des écoles, des collèges, des lycées et universités de Guadeloupe sont en émoi : la nouvelle a eu l’effet d’une bombe dans leur tête traumatisée d’enfants, d’adolescents, de jeunes garçons et de jeunes filles ; Effet d’une bombe dans leurs cœurs meurtris, dans nos familles d’Haïti, de Guadeloupe, Martinique et Guyane et bien au-delà encore !

 

Notre enfant de 15 ans de la 3ème Toussaint-Louverture du collège Front-de-Mer de Pointe-à-Pitre est décédé : arrêt cardiaque après avoir pris votre poison en Guadeloupe, votre sésame l’autorisant à partir voir sa grand-mère mourante en Haïti. Il s’était plaint de douleurs au bras et à l’estomac. Sa mère inquiète l’avait emmené voir son médecin en Guadeloupe qui lui, n’aurait rien trouvé d’anormal. Après avoir pris l’avion et être arrivé en Haïti, il nous a été arraché dès son arrivée à l’aéroport…arraché à sa famille, arraché à ses camarades du collège, à ses amis, arraché à nous, Papas et Mamans de Guadeloupe ! Aujourd’hui, sa famille a perdu deux des siens : grand-mère et enfant.

 

Officiellement, selon vos dires, vous comptez donc deux de nos enfants décédés.

 

En réalité, cela fait plus de deux mois que pratiquement tous les jours, nous sommes informés par des parents, familles, voisins et amis, de décès d’enfants survenus à la prise de cette piqûre, d’enfants subitement terrassés par ce syndrome de Guillain-Baré suite à cette piqûre, de nos jeunes victimes de myocardites sévères, frappés de handicaps, de maladies invalidantes et autres graves conséquences à la suite de la prise de votre poison !

 

Cette même piqûre, ce même poison que vous n’avez eu de cesse de prôner, d’imposer à nos enfants, harcelant tous les jours pères, mères et proches :

 

• Faisant de certains chefs d’établissements scolaires et enseignants, de véritables ambassadeurs de ce poison, bourrelles et bourreaux de nos enfants de Guadeloupe !
• Faisant de bon nombre de dirigeants de ligues, clubs sportifs et culturels, des petits-Cotellon, exécuteurs des basses œuvres à l’encontre de nos enfants de Guadeloupe !

 

Tant et si bien que depuis le mois d’Août dernier, au CREPS Antilles-Guyane des Abymes et au CERFA (Centre Élite des Régions Françaises d’Amérique) du Lycée de Baimbridge, secondé par une équipe de mercenaires, votre envoyé Jean DARTRON, Président de la Ligue de Football, Président du CERFA, Proviseur du LGT de Baimbridge, Conseiller départemental, use de ses multiples casquettes et facettes, véritable Cotellon en puissance, pour semer contre chantage à la piqûre, drames et tragédies dans nos familles de nos jeunes sportifs de Guadeloupe, Martinique et Guyane.

 

Nous nous sommes toujours employés malgré vos basses œuvres, à informer nos parents d’élèves contre cette 5ème vague pédiatrique que vous fomentiez dès la rentrée scolaire, faisant de nos enfants désormais piqués de véritables bombes virales retournés chez eux, dans nos familles, chez nos voisins, nos enseignants !

 

Nous nous sommes toujours employés bien malgré vous, à continuer à vous interpeller sur l’urgente nécessité de :

 

• Faire tomber ces masques criminels que vous imposez illégalement à nos jeunes enfants dès l’âge de 6 ans, convaincus comme bon nombre d’études scientifiques et par cette réalité criante du terrain, que nos enfants ne sont pas durement touchés par la Covid19, nos enfants ne sont pas gravement malades de la Covid19, nos enfants ne meurent pas de la Covid19 ;
• D’installer des citernes d’eau branchées sur le réseau dans tous nos établissements scolaires de Guadeloupe, afin que nos enfants puissent effectuer les premiers gestes barrières, le lavage des mains, et se protéger de toutes les maladies ;
• De mettre en place un système généralisé de baisse de la pression parasitaire des rats, vecteurs de leptospirose dans tous nos établissements scolaires de Guadeloupe ;

 

Mais en vain…vous n’avez rien fait !

 

Aujourd’hui, en plus de ces drames et des drames à venir que vous aurez sur votre conscience, vous aurez sur vos mains les marques de tous vos manquements à la Santé Publique de nos enfants, le sang et les stigmates de toutes ces maladies, contaminations, handicaps, pertes de repères, tentatives de suicides, et autres conséquences physiques et psychologiques de votre maltraitance sanitaire sur nos enfants !

 

Alors avant que votre slogan à l’adresse de nos enfants « Tous vaccinés, Tous protégés » ne se transforme en ce slogan inavoué « Tous vaccinés, Tous décédés », nous vous sommons d’arrêter net votre génocide perpétré contre nos enfants !

 

STOP !

 

Arrêtez de condamner et tuer nos enfants ! Arrêtez de faire de nos écoles, collèges et lycées des lieux d’extermination et de mort !
Arrêter de meurtrir et briser nos familles ! Arrêtez de casser physiquement, mentalement et psychologiquement nos écoliers, collégiens, lycéens et étudiants de Guadeloupe !

 

STOP !

 

Notre douleur de Pères et de Mères est certes grande mais nous sommes dès lors, plus que DéterMinés car notre Colère et notre révolte sont désormais IMMENSES !

 

Alors avant que ce nombre de décès et de drames d’enfants déjà trop insupportable, ne vienne à se démultiplier, comme hier encore pour nos parents, ARRETEZ VOTRE MASSACRE, ARRETEZ VOS CRIMES, car nous ne pourrions supporter l’insoutenable, nous ne pourrons contenir l’irréparable !

 

Dans l’attente, recevez, Mesdames, Messieurs, en vos grades et qualités, nos salutations.